De retour de vacances, en transit dans la gare de Nantes, J’ai soudain une envie de pisser et aussi d’allé voir si ça drague dans les chiottes de la gare. Je dépose mes sacs dans la consigne pour être tranquille car j’avais deux heures d’attente avec la correspondance pour rentrer chez moi.
Je suis José 26 ans d’origine portugaise look skarla survêt costla, je kif plan cho7, sniff jus, plan uro etc. mais je suis Actif. J’ai plutôt look bogosse de cité et je suis fier de ma grosse pine de 20 cm mais surtout très large et lourde.
J’entre dans les chiottes de la gare, Je me dirige vers les urinoirs et je me mets à pisser. Un jeune mec type Turc (Je ne sais pas encore si il est turc à ce moment là) se met à coter de moi et commence à me mater mon sgeg.
Je le vois mater de plus en plus et la je me mets à me branler doucement en me reculant pour bien lui faire voir mon zob en train de grossir. Ca m’excite bien de le voir saliver sur mon gros zboub. Je comprends vite qu’il attend que je me décide à le laisser me toucher.
Je pars des urinoirs avec la bite toujours sorti pour aller dans les cabines et la bite à la main je lui fais signe de me rejoindre. J’enlève mon survêt et je me retrouve en caleçon et en basket dans la cabine des toilettes.
Il me rejoint et se met à me sucer doucement. Putain quel bonne bouche de salope, Je sentais mon chibre se gonfler dans sa bouche. Il me pompait en me regardant bien dans les yeux pour me faire comprendre qu’il était à ma disposition. J’avais un beau turc sur le bout de la bite, Je ne pouvais pas rêver mieux pour me faire patientez avant de prendre mon train.
Il se met à genoux dans les chiottes et commence à lécher mes skets que j’enlève pour lui faire sniffer mes cho7. Il sniff bien mon bon soumis et je commence à lui mettre la main sur le cul voir si il serait open pour que je le saute.
La petite pute écarte bien son trou au passage de mes mains pour bien me faire voir qu’elle avait le trou en chaleur. Je lui redonne ma teub à pomper pour bien la durcir pour lui ramoner son cul. Je l’empale aussitôt et je le lime en lui claquant le cul bien ouvert.
Je ne pouvais pas faire trop de bruit car on était dans un endroit publique mais j’aurai bien aimé avoir ce fion à piné chez moi. Je retire ma bite de son trou et j’enlève la capote pour lui décharger mon jus dans sa bouche.
La petite pute avale tout même ce qui était tombé par terre. Je sors de la cabine le chibre gonflé à travers mon survêt et je prends mon train.
José (Nantes)
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